[... Extrait de l'article ...] « Je n'en veux pas du tout au foyer, dit-elle. Ils ont fait ce qu'ils ont pu pour reclasser le maximum de personnes. Non, notre cible, c'est Total car c'est bien l'explosion d'AZF qui a détruit notre outil de travail. Et c'est à eux de payer. C'est important que la justice reconnaisse que perdre un travail à durée indéterminée, c'est un préjudice compte tenu de la difficulté que l'on éprouve pour retrouver du travail de nos jours. » Une difficulté qu'éprouvent déjà bien des salariés qui ont pourtant disparu des statistiques du chômage partiel dans les quartiers sud de Toulouse. « Au début, on a compté 138 entreprises et 1.790 salariés touchés par le chômage partiel. Aujourd'hui, il n'en reste que onze pour 593 salariés -dont 450 qui trav [...]

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